Il est important de préparer sa retraite dès que possible, même lorsque l’on est freelance. Bien que les freelances aient souvent des revenus irréguliers, il est possible de mettre en place des stratégies pour épargner suffisamment pour la retraite.

 Il faut déjà comprendre comment fonctionne le système de retraite pour les freelances, il possède ses particularités.

À quelle retraite as-tu le droit en tant que freelance ?

Être indépendant n’exclut pas le bénéfice de la retraite. Tout dépend du statut pour lequel tu as opté car il existe 2 régimes de cotisation du freelance. On fait le point dans cette partie !

Comment fonctionne le système de retraite en freelance ?

Le système de retraite pour les freelances est basé sur deux composantes obligatoires : 

  1. La retraite de base dépend du nombre de trimestres cotisés et est gérée par la sécurité sociale. 
  2. La retraite complémentaire, quant à elle, dépend d’un cumul de points et varie en fonction du statut du freelance, tel que commerçant ou libéral. 

Les freelances en SASU ou qui cotisent à la maison des artistes (AGESSA), sont considérés comme des salariés et cotisent au régime général.

Ceux qui sont micro-entrepreneurs ou en EIRL cotisent au régime de retraite des indépendants.

Le taux de cotisation à la complémentaire est plus faible pour les TNS. Il est donc plus judicieux d’épargner l’argent afin qu’ils économisent sur les cotisations sociales pour maintenir un niveau de revenu acceptable à la retraire.

 

À quel âge peux-tu prendre ta retraite ?

Aujourd’hui, tu peux bénéficier d’une retraite à taux pleins sous certaines conditions.

Il faut arrêter de cotiser au plus tôt à 62 ans et avoir validé entre 167 et 172 trimestres. Il y a des exceptions telles que l’invalidité, la pénibilité ou le départ anticipé pour carrière longue qui peuvent permettre de toucher une retraite plus tôt.

 

  • Pour les freelances, le nombre de trimestres validés est un critère important pour déterminer le montant de la retraite. En tant qu’auto-entrepreneur, si tu déclares un chiffre d’affaires nul, tu ne cotises pas et ne valides donc aucun trimestre. Si tu déclares un chiffre d’affaires, tu peux valider entre 1 et 4 trimestres, mais attention, une décote de 1,25% s’applique pour chaque trimestre manquant.
  • Si tu es en EIRL, EURL ou en EI, même sans chiffre d’affaires, tu es tenu de payer une cotisation minimale. Cette cotisation te permet de valider 3 trimestres, ce qui peut faire une grande différence pour ta retraite. 

 

Le calcul pour la retraite de base est assez similaire pour les TNS et les travailleurs assimilés salariés. Le taux de cotisation à la retraite complémentaire est plus faible pour les TNS, ce qui peut entraîner une pension plus faible.

Il est conseillé aux TNS de placer l’argent économisé sur les cotisations sociales afin de maintenir un niveau de revenu suffisant à la retraite.

En résumé 

  • Prendre en compte le fonctionnement du système de retraite
  • Tenir compte du nombre de trimestres validés et
  • Tenir compte taux de cotisation à la retraite complémentaire pour
  • Évaluer la pension à laquelle on peut prétendre.

N’attends plus, constitue-toi un patrimoine financier

Maintenant que tu as mieux compris comment fonctionne le système des retraites, il est maintenant intéressant de savoir comment il faut que tu procédes pour te construire un patrimoine financier le plus tôt possible pour anticiper et consolider ta retraite.

 Les étapes à suivre pour commencer à te créer un patrimoine financier 

Lorsque tu es freelance, te construire un patrimoine financier peut t’aider à t’assurer un avenir stable et prospère.

Nous avons organisé un webinar avec Goodvest où un de leur conseiller à donner des méthodes, des conseils et des outils. Pour voir le replay, c’est par ici !

Voici quelques étapes à suivre pour établir un patrimoine financier solide lorsque l’on est freelance : 

 

  • Classe ton épargne par horizon de temps et imagine une commode à trois tiroirs. Dans le 1er tiroir, on parle d’épargne à court terme (0 à 2 ans), également dite “épargne de précaution”. Dans le 2ème tiroir, d’épargne à moyen terme (2 à 5 ans) et dans le 3ème tiroir, on parle d’épargne à long terme (5 ans et plus). 
  • Fais le choix parmi des outils adaptés. Pour notre part, nous te conseillons le PER ou l’assurance-vie. L’assurance vie est qualifiée de couteau-suisse de l’épargne grâce à sa polyvalence et ses 4 avantages. Le PER a des caractéristiques quasi similaires à l’assurance vie mais il est en peu plus technique.


Qu’importe ton niveau en investissement, nous recommandons un de ces deux outils pour te constituer un patrimoine financier et préparer ta retraite. 

Goodvest : l’assurance vie responsable 

Nous avons d’ailleurs une solution qui permet de fructifier ton argent, financer des projets et entreprises qui œuvrent dans la transition écologique. L’épargne moyenne d’un français émet 11 tonnes de Co2 par an. Une vraie question se pose sur ce que l’on souhaite que notre épargne finance. 

 

Goodvest propose une assurance vie, accessible dès 300€ et différenciante par : 

  • Son mode de tarification (frais de 1,8% sur le montant sous gestion comparé à 3,6% dans une banque traditionnelle)
  • Son mode de gestion 100% piloté (choisissez vos thèmes d’investissement et votre profil de risque, il s’occupe du reste)
  • Son univers d’investissement sélectif (stricte exclusion des secteurs néfastes comme les énergies fossiles, l’armement, le tabac etc…) 

 

N’attendez pas, et faites une simulation ici ou réserver un rendez-vous avec un de leurs conseillers.