Devenir propriétaire en freelance, ce n’est pas la première question qui nous vient en tête lorsque l’on se lance dans l’aventure du freelancing et pourtant, c’est un sujet incontournable qui peut être source d’inquiétude voire de conflit intérieur.

 

Le plus simple serait de vous raconter l’histoire de Marc. Marc est un jeune homme de 28 ans. Après des études supérieures en informatique, Marc commence sa carrière professionnelle comme beaucoup d’autres au sein d’une ESN (ex SSII). 

Il signe immédiatement un CDI et passe de clients en clients. Il effectue certaines missions intéressantes et progresse très rapidement techniquement parlant, à tel point qu’il reçoit même quelques propositions d’embauche de la part des clients chez qui il travaille. 

Marc est très sollicité et fait même quelques belles rencontres. Mais il comprend vite que pour l’ESN, il est une ressource mise à dispositions du plus offrant et n’a pas l’impression de faire parti d’une vraie famille. 

 

Au sein des entreprises chez qui il est placé, Marc croise la route de freelances effectuant exactement les mêmes missions que lui mais profitant d’une rémunération bien plus élevées. En plus, ces freelances lui expliquent tous les avantages de l’indépendance. 

 

Marc n’hésite pas très longtemps et se lance dans cette aventure. Il ne regrette pas son choix mais doit s’imposer des périodes de vacances car il est tout autant sollicité qu’avant, voire davantage. En plus, Marc choisit les missions et les entreprises pour qui il travaille et dégage un revenu confortable, en phase avec son expertise.

 

Une année s’écoule, Marc est heureux et il projette tout naturellement d’acquérir une résidence principale. Il repère une belle maison où il pourra se ressourcer après le travail. La maison qu’il a trouvée est très largement dans ses moyen et demande donc un prêt immobilier à sa banque. Il est dans cette banque depuis son adolescence et n’a jamais eu de découvert, ce n’est donc qu’une formalité.

 

La réponse arrive au bout de quelques jours : son prêt est refusé. La raison ? Son revenu, bien que conséquent, n’est pas garanti. En clair, Marc n’a pas de CDI. Son activité indépendante n’a qu’un an et il lui faudrait au moins 3 bilans comptables avant de pouvoir espérer un prêt à un taux malgré tout moins intéressant qu’une personne en CDI.

 

Disons-le franchement : c’est injuste. Le pire, c’est que Marc n’est pas un cas isolé. 

Étant patient, il a attendu 2 ans et a pu obtenir un prêt pour l’achat d’une maison mais à un taux moins intéressant que s’il avait été en CDI.

 

Tu te reconnais peut-être dans Marc. Peut-être même que tu vis la même situation. Heureusement pour toi, l’histoire de Marc a fait écho et les choses changent petit à petit. Cherry Pick te présente son partenaire Achylles. 

 

Achylles aide les profils hors CDI à obtenir un emprunt immobilier.

Les freelances, les entrepreneurs, les personnes en CDD et les intérimaires peuvent bénéficier :

 

  • d’un coaching avec un expert, le but étant de mettre toutes les chances de son côté auprès des banque : bien construire son dossier, quels arguments mettre en avant, etc.
  • d’une offre de courtage, idéale si tu n’as pas le temps de t’occuper de la recherche de ton prêt immobilier ;
  • d’une garantie, simplifiant l’obtention d’un prêt immobilier à des conditions intéressantes. Cette garantie est en phase de pré-lancement.

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