5 idées reçues sur les freelances dans l’IT

Le monde du travail est en constante évolution et de nouvelles tendances émergent afin d’accompagner ces mutations. Le secteur du conseil et de l’IT ont notamment connu des changements majeurs ces dernières années. L’une de ces nouvelles tendances est l’augmentation de la demande de travailleurs indépendant, également appelés freelances. Les entreprises du CAC40 et les grands groupes ne font pas exception à la règle. Les entreprises font de plus en plus recours aux freelances pour les aider à relever leurs défis technologiques. Cependant, avec la popularité croissante des freelances en IT, de nombreuses idées reçues sur les freelances ont émergé. Il est temps de les démystifier.

Voici 5 idées reçues sur les freelances en IT que nous allons explorer ensemble aujourd’hui :

1. « Un freelance coûte plus cher qu’un salarié » : faux

Il est souvent présumé que les freelances coûtent plus cher que les salariés. Cependant, cela dépend en grande partie de la qualité et de l’expérience du freelance auquel vous faîte appel. De plus, lorsque vous embauchez un freelance, vous évitez les coûts associés à l’embauche de salariés, tels que les coûts de santé et d’assurance, les coûts de formation et les coûts liés à la gestion des ressources humaines. Vous n’avez donc pas à payer de charges patronales ni de charges salariales lorsque vous faites appel à un freelance

2. « Un freelance n’est pas engagé dans la durée » : faux

On entend souvent que les freelances dans l’IT ne sont pas disponibles pour des projets à long terme. Pourtant, les freelances recherchent eux aussi de la stabilité à travers des missions longues. Les missions longues permettent aux freelances de garantir leurs revenus à l’image d’un salarié traditionnel. Une entreprise est d’ailleurs en droit de ne pas renouveler le contrat d’un freelance et donc ne plus faire appel à ses services contrairement à un salarié où une rupture de CDI est laborieuse. Nous recommandons donc aux entreprises de contractualiser via un intermédiaire comme Cherry Pick avant de vous engager avec un freelance. L’intermédiaire se chargera alors de contractualiser avec l’entreprise et de suivre le freelance sur la durée. 

3. « Les freelances ne sont pas fiables » : faux

L’une des idées reçues les plus courantes sur les freelances est qu’ils ne sont pas fiables. Cependant, cela dépend en grande partie de la qualité des personnes que vous embauchez aussi bien en freelance qu’en CDI. De nombreux freelances sont en fait très professionnels et conscients de leur réputation, et ils travailleront dur pour maintenir leur niveau de qualité. Les freelances sont en réalités des chefs d’entreprise et sont donc très investis. En fin de compte, la fiabilité d’un freelance dépend de la qualité de son travail et de sa réputation, de la même manière qu’un travailleur permanent. Vous pouvez d’ailleurs profiter d’un intermédiaire afin de réaliser des prises de références lors de votre processus de recrutement.

4. « Les freelances ne sont pas aussi qualifié qu’un salarié » : faux

C’est encore une idée reçue sur les freelances dans l’IT qui s’avère être fausse. De nombreux freelances sont très qualifiés et possèdent des années d’expérience dans leur domaine. En outre, les freelances peuvent être plus spécialisés dans un domaine particulier et posséder une expertise plus approfondie que les employés. Devenir freelance se fait souvent après avoir accumulé plusieurs années d’expériences dans un schéma de salariat plus traditionnel. Faire appel à un freelance est donc souvent un gage de qualité, car cela permet aux entreprises de faire appel à des experts. De plus, les freelances dans l’IT sont particulièrement qualifiés et se testent très régulièrement à travers des coding games et se forment en continue.

5. « Un freelance est moins impliqué qu’un salarié » : faux

Ce mythe du freelance mercenaire qui travaille uniquement pour lui n’existe pas. Au contraire, un freelance se doit de performer voire même d’exceller. En effet, si un freelance ne délivre pas à hauteur des attentes de son client, le contrat de prestation prendra alors fin. Les indépendants se doivent donc de garder un haut niveau de délivrabilité, de qualité et de satisfaction de ses clients. Nous vous conseillons également de parcourir cet article pour aller plus loin dans la thématique de l’engagement collaborateur.

En conclusion

Le développement du freelancing est l’un des phénomènes sociaux les plus marquants de ces dix dernières années, notamment dans tous les métiers de prestations intellectuelles. Les idées reçues sur les freelances dans l’IT peuvent souvent être trompeuses. Les freelances sont fiables, compétitifs, savent travaillent en équipe et hautement qualifiés. Les entreprises peuvent bénéficier considérablement des services de freelances pour compléter leurs équipes ou pour mener à bien des projets spécifiques tout en bénéficiant d’une forte souplesse et d’agilité.